« Quand on voit un homme battre sa femme, tout le monde intervient ; si on voit deux adultes qui se battent, on va essayer de les séparer ; si on voit quelqu’un qui martyrise un animal, on va intervenir et, en fin de compte, les seuls êtres vivants que l’on peut frapper sans justifier que l’on puisse intervenir, ce sont les enfants. Il y a probablement quelque chose à travailler collectivement ».
Les violences douces, ça existe vraiment? Où se trouve la limite?
Un questionnement délicat mais nécessaire pour une évolution des mentalités en douceur afin d’arriver à une éducation sans violence.